ARKEA B&B HOTEL 2024

3 formations équipées en Ekoï sont au départ de la 107ème édition du Tour d’Italie. Elles nourrissent toutes la même ambition : remporter des étapes! Les 8 coureurs d’Israël Premier Tech sont : Simon CLARKE, Marco FRIGO, Hugo HOFSTETTER, Riley PICKRELL, Nadav RAISBERG, Nick SCHULTZ, Ethan VERNON et Michael WOODS. Ce dernier aborde le Giro avec le statut de leader de la formation. Il envisage une victoire d’étape qui le ferait entrer dans le cercle des vainqueurs sur les 3 Grands Tours. Chez la Cofidis, le directeur sportif est clair : “l’objectif majeur, c’est de tout faire pour aller chercher une victoire d’étape. On comptera sur Benjamin Thomas lors des deux contre-la-montre, sur Stanislaw Aniolkowski et Stefano Oldani pendant les sprints massifs.” Effectif : ANIOŁKOWSKI Stanisław, DEBEAUMARCHÉ Nicolas, CHAMPION Thomas, FERNÁNDEZ Rubén, GESCHKE Simon, THOMAS Benjamin, WOOD Harrison et OLDANI Stefano (leader). Arkéa B&B Hôtels aligne une équipe composée de BIERMANS Jenthe, BARRÉ Louis, COSTIOU Ewen,DEKKER David, GRONDIN Donavan,RIES Michel, RIOU Alan, VERRE Alessandro. Ewen Costiou, jeune coureur prometteur, sera à suivre pour un bon classement général sur son premier Grand Tour et le sprinteur belge Jenthe Biermans sera le leader pour les arrivées groupées.

Disputée dans des conditions météorologiques difficiles, cette 88ème édition de la Flèche Wallonne a été remportée par trois coureurs Ekoï. Le Britannique S.Williams (Israël Premier Tech) s'est montré le plus fort dans la quatrième et dernière ascension du mur d'Huy. A 200 mètres de la ligne, il a attaqué, en costaud. Il devance Kévin Vauquelin de la formation bretonne Arkéa B&B-Hôtels et le Belge Maxime Van Gils (Lotto-Dstny). Ekoï signe son premier triplé de la saison sur une épreuve World Tour et Stephen Williams sa deuxième victoire de l'année après celle décrochée sur le Tour Down Under ! Equipements : casque AR14 Ekoï + textile (S.Williams) - casque Ekoï Aerodinamica, lunettes Ottimo et textile (K.Vauquelin) - casque AR14 + lunettes OTTIMO (M.Van Gils) 

A 21 ans, le pensionnaire de la formation Arkéa B&B Hôtels ne manque pas d'audace. Au point de réussir le coup du kilomètre avec brio et maitrise lors de la seconde étape du Région Pays de la Loire Tour. Il signe avec la manière sa première victoire professionnelle. A l'abord de la flamme rouge, on se regarde dans le groupe de tête. C'est le moment que choisit Ewan pour sortir. Etonnamment, ses adversaires ne réagissent pas immédiatement. Il prend alors suffisamment le large et ne sera jamais rattrapé. Déclaration du vainqueur : "J'ai été bon dans la tête"    

Le sprinteur italien de la formation bretonne s'est imposé au sprint pour la deuxième place au terme d'une course intelligemment menée. Il s'offre la "meilleure prestation de [sa] vie" et permet à Arkéa B&B Hôtels de monter pour la première fois de son histoire sur le podium d'un Monument.  Déclaration du vainqueur :  "J’essayais de rester le plus calme possible et de ne pas faire d’effort pour rien. Juste de suivre le premier peloton pour jouer des places (...) Dans ma tête, l’objectif était de passer le plus de monts possibles dans le premier groupe en lissant mes efforts. Et cela a payé dans le final, car dans les 30 ou 40 derniers kilomètres, j’étais plutôt bien. Cela a été une course où tout le monde a terminé « cuit ».  Palmarès de Luca : Binche-Chimay-Binche (2023) Tour du Limousin - étape 2 (2023)

10 secondes… Plus rapide que tous ses adversaires, Kévin Vauquelin (22 ans) a remporté la dernière étape de la 54ème Etoile de Bessèges, un contre-la-montre individuel de 10.5 kilomètres. Impressionnant, notamment dans la montée finale de l’Ermitage, le jeune pensionnaire de la formation Arkéa B&B Hôtels devance de 10 secondes son adversaire direct au général, l’expérimenté et spécialiste de l’exercice Mads Pedersen. Il signe sa première victoire de la saison et sa première victoire sur une épreuve de chrono. Meilleur jeune, il manque de peu le général, pour seulement 2 petites secondes. Ce premier succès de l’année pour l’équipe bretonne et aussi le premier pour la nouvelle combinaison de chrono Ekoï !  La citation du vainqueur :  « Je suis heureux forcément de remporter ce contre-la-montre individuel, un succès qui valide le travail mis en place durant tout l’hiver avec l’équipe ARKEA-B&B HOTELS. On mesure ce dimanche que celui-ci a porté ses fruits. J’espère que ce n’est que le début."  Nombre de victoires pros : 4  Equipements : casque EKOÏ Veloce, combinaison de chrono EKOÏ, couvre-chaussures EKOÏ AERO  Crédit photos Sirotti

Archi favori et très attendu par le public local depuis qu’il a intégré la formation bretonne Arkéa-B&B Hôtels, Clément Venturini s’est, une fois encore, montré le plus fort. Malgré une frayeur au début du huitième tour en raison d’un saut de chaîne, il revient très vite sur son seul adversaire du jour, Joshua Dubau, dont il ne fera qu’une bouchée ! Sur le sprint pour la victoire, il ne laisse en effet aucune chance au champion 2022. Il savoure son sixième titre national, tout de rouge vêtu ! Avec Casque Ekoï AR14 et lunettes Twenty Crédit photo : équipe Arkéa B&B Hôtels

Être sprinteur, c'est faire partie d'une caste très particulière dans laquelle la confiance joue un rôle prépondérant. En intégrant la formation bretonne Arkéa-Samsic le 1er août dernier, Arnaud Démare a pris conscience qu'une équipe avait encore confiance en ses qualités. 5 jours après son premier succès avec ses nouvelles couleurs, il double la mise sur Paris Bourges. Dans un final houleux, il choisit de se placer dans la roue du favori du jour : Arnaud de Lie (Lotto-Dstny). Dans les 200 derniers mètres, les deux hommes se livrent un combat d'une violence telle que "le taureau de Lescheret" rompra sa chaîne et déjantera de la roue avant... Un "Arnaud" peut en cacher un autre, mais aujourd'hui la victoire revient à Démare, après deux 2ème place (en 2021 et 2022). De son côté, l'équipe Cofidis place deux hommes dans le top 10 : Coquard (8ème) et Cimolaï (9ème). Crédit Photos : LNC / M.Vaning

Un mois et demi après sa première victoire professionnelle, Luca Mozzato confirme les espoirs placés en lui en s'adjugeant un succès notoire à l'occasion de la Binche - Chimay - Binche. Le sprinteur italien a eu le mérite de croire en lui jusqu'à la ligne d'arrivée et bien lui en a pris... Dans un final marqué par une chute dans les 2 derniers kilomètres et des sections pavées, moins d'une demi douzaine de coureurs peuvent prétendre à la victoire. Alors que ses adversaires semblent partis pour se disputer la gagne, les mains cramponnées au cintre, il revient de nul part au prix d'un effort violent et passe la ligne en vainqueur sur le fil. Mal placé au moment de la chute, Arnaud de Lie (Lotto-Dstny) est distancé et ne parviendra jamais à recoller le groupe de tête. Il termine 6ème, Hugo Hofstetter (Arkéa-Samsic) 9ème. Crédit Photos : Getty Image

Le Tour de Vendée, dernière manche de la Coupe de France FDJ, restera dans les mémoires collectives pour être la première course remportée par Arnaud Démarre sous ses nouvelles couleurs. A l'occasion du dernier baroud d'honneur de Laurent Pichon (Arkéa-Samsic) avant sa retraite sportive, toute l'équipe rouge et noire était mobilisée pour mettre sur orbite le nouveau sprinter de la maison bretonne. Assumant leurs responsabilités très tôt dans la course, les coéquipiers de Clément Russo (Arkéa-Samsic) ont contrôlé les échappées et ont mené un rythme soutenu à l'approche du circuit final. Bien emmené dans les ultimes hectomètres et profitant également du travail de son ancienne formation, Arnaud Démarre se montre le plus véloce et s'offre un premier bouquet sous le maillot Arkéa. Il détrône Bryan Coquard (vainqueur en 2022), au pied du podium. Crédit Photos : @Franz Renan Joly

Le Skoda Tour du Luxembourg réussit plutôt bien aux coureurs arborant des produits Ekoï. Après la victoire de Corbin Strong (Israël-Premier Tech) hier, c'est au tour du sprinteur belge de la formation Arkéa-Samsic de triompher. Dans une étape pluvieuse, plusieurs courageux se sont fait remarquer en s'immisçant dans des échappées à l'image de Pascal Eenkhoorn (Lotto-Dstny) ou Ewen Costiou (Arkéa-Samsic). Les 189 kilomètres du jour semblaient promis aux "grosses cuisses" et pourtant même l'énergique Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) n'est pas parvenu à réaliser le coup du kilomètre... Finalement, bien à l'abri et caché dans la horde des sprinteurs, Jenthe Biermans vient coiffer les favoris dans les 25 derniers mètres pour s'offrir une deuxième victoire personnelle cette saison (après la Muscat Classic). Crédit Photos : Guetty Images I Skoda Tour du Luxembourg

Les conditions météorologiques dantesques de la 3ème étape de l'Artic Race of Norway ont mis à mal les coureurs du peloton. Entre les bordures et les différentes difficultés de la journée, il fallait être costaud pour s'imposer au sommet de l'ultime ascension. Bien emmené jusqu'aux 50 mètres par son coéquipier Dylan Teuns, le puncheur-grimpeur fournit un antépénultième effort pour déposer sur la ligne Clément Champoussin (Arkéa-Samsic) 2ème, Teuns (Israël-Premier Tech) 5ème et Guillaume Martin (Cofidis) 8ème. Le britannique fait coup double en se parant du maillot jaune de leader, qu'il conservera à l'issue de la 4ème étape, remportée par un Clément Champoussin (Arkéa-Samsic) revanchard ! Crédit Photo : Sprint Cycling / Getty Images / Artic Race of Norway

La Nouvelle Aquitaine réussit plutôt bien à Luca Mozzato. Déjà 4ème de la 7ème étape du Tour de France lors d'un sprint massif entre Mont-de-Marsan et Bordeaux, le sprinteur italien s'impose pour la première fois chez les professionnels en Dordogne. La deuxième étape du Tour du Limousin, longue de 185 kilomètres et comptabilisant 2500 mètres de dénivelé positif, s'est achevée sur un sprint houleux en faux-plat montant. Bien placé et profitant du travail de ses adversaires, Luca déboite à 175 mètres de la ligne et remporte avec un vélo d'avance une victoire qui confirme ses qualités de sprinteur-puncheur. A noter : La formation Cofidis place deux hommes dans le Top 10 : A.Mariault (5ème) et J.Herrada (6ème). Crédit : Getty Images

Pour cette 110ème édition du Tour de France, quatre équipes Ekoï étaient sur la ligne de départ : Israël Premier-Tech, Arkéa-Samsic, Cofidis et Lotto-Dstny. Il n’a pas fallu attendre très longtemps pour voir briller l’une d’entre elles. Deuxième étape et la première victoire obtenue grâce à un magistral coup d'œil de Victor Lafay (Cofidis), lequel surprend les plus costauds en partant au kilomètre pour franchir seul la ligne. Jouissif ! Une semaine plus tard, c’est l’expérimenté Michael Woods (Israël Premier-Tech) qui effectue une fantastique montée du très difficile Puy de Dôme. Revenant un à un sur ses adversaires, il les terrasse dans les pourcentages les plus sévères. Mythique !  Lors de la 12ème étape, Cofidis s’illustre à nouveau avec le coureur espagnol Ion Izaguirre, auteur d’une irrésistible chevauchée de 30 kilomètres récompensée par une superbe et incontestable victoire. Solide ! De nombreux coureurs se sont également illustrés. Parmi eux, impossible de ne pas citer le belge Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) auteur de très nombreuses tentatives d’échappées, souvent au kilomètre 0. A Paris, ce n’est pas par hasard s’il remporte le trophée du super combatif. Krists Neilands (Israël Premier-Tech) s’est à plusieurs fois retrouvé dans le “bon coup” et a fait preuve d’une remarquable combativité. Guillaume Martin (Cofidis) s’est montré sacrément pugnace en s’accrochant tout au long des étapes de montagne. Sa 10ème place au classement général est amplement méritée.  Côté sprints, on notera les deuxième et troisième places de Caleb Ewan (Lotto-Dstny) et la troisième place ...

Les 133,5 kilomètres de cette avant-dernière étape du Tour s'annoncent nerveux, d'autant que le profil proposé aux 151 coureurs rescapés ne compte pas un seul mètre de plat. La partie peut commencer : faites "vosges", rien ne va plus ! A ce petit jeu, les premiers à dévoiler leur main sont les deux coureurs de la  Lotto-Dstny Campenaerts et De Buyst. Dès l'ouverture du rideau orchestrée par le maître de cérémonie Christian Prudhomme (directeur du Tour de France) les deux compères tentent un tour... de passe passe en se faisant la malle seuls, dans le Ballon...d'Alsace. Peine perdue... Dans la descente, ils réapparaissent aux yeux de leurs adversaires et sont immédiatement distancés. Merci messieurs pour ce numéro ! Quelques hectomètres plus tard, un groupe d'une vingtaine d'unités se forme à l'avant. On y retrouve notamment Izagirre et Zingle (Cofidis), l'autre grand attaquant de ce Tour Neilands (Israël-Premier Tech), Van Gils (Lotto-Dstny) et Barguil (Arkéa-Samsic). Le rythme est soutenu à l'avant comme en tête du peloton, personne n'est là pour enfiler des perles ! Le Col de la Croix des Moinats permet de faire une nouvelle sélection à l'avant, où seuls 6 coureurs jouent les premiers rôles : Barguil, Neilands, Van Gils sont à la fête ! Dans cette étape, un autre coureur est en mission. Pinot (Groupama-FDJ) participe à son dernier Tour de France et le Franc-comtois roule aujourd'hui à domicile. Il connaît par cœur ces routes. Dans les pourcentages les plus exigeants de cette difficulté, révolté, surmotivé, transcendé, il sort du peloton et revient seul sur l'échappée. Un tigre prêt à rugir ! Pas de temps ...

Nouvelle échappée au kilomètre 0.  Celle-ci se compose d’un trio dans lequel on retrouve Mathis Louvel pour Arkéa-Samsic, accompagné de Daniel Oss et Andrey Amador. Les fuyards creusent l’écart, qui atteindra 3 minutes et 20 secondes. Au km 109, Philipsen et Coquard se disputent la quatrième place du sprint intermédiaire. Le Belge est le plus fort. A 53 kilomètres de l’arrivée, Mathis réintègre le peloton après plus de 120 bornes passées à l’avant.     La victoire se joue alors au sprint : cinquième sprint et cinquième TOP10 pour Bryan Coquard (Cofidis) qui décroche une belle 4ème place. Il a déclaré, lucide : “Vu le positionnement que j’avais au kilomètre, 4ème, c’est bien payé !” A noter la 7ème place du coureur italien Luca Mozzato (Arkéa-Samsic), auteur il y a quelques jours d’un top 4 à Bordeaux (étape 7). © crédit photo Sirotti

Présent dans la toute première échappée du Tour 2023 au départ de Bilbao, le coureur de la formation Arkéa-Samsic, Simon Guglielmi n’a pas manqué de panache aujourd’hui en partant seul cette fois-ci dès les premiers kilomètres de l’étape. Il empoche le sprint intermédiaire à la borne 85 avant d’être rejoint par le duo Nans Peters et Pierre Latour à 73 kilomètres de l’arrivée pour finalement réintégrer le peloton à 37 kilomètres de la ligne. Grâce à ce raid solitaire, il remporte le prix de la combativité de cette septième étape. 

Belle journée pour les coureurs Ekoï hier marquée par une nouvelle échappée et un sprint âprement disputé. À 85 kms de l'arrivée, Anthony Delaplace (Arkéa-Samsic) prend les devants en compagnie de B.Cosnefroy. Repris à 25 kms de la ligne, le duo réintègre un peloton en ordre de marche pour disputer le sprint massif sur le circuit de Nogaro. Sprint que l'explosif Caleb Ewan (Lotto-Dstny) manque de peu, battu seulement d'une demi roue par Philipsen. A noter une prometteuse quatrième place de Bryan Coquard. Le sprinteur Cofidis monte en puissance ! A suivre...

Il ne fallait pas être en retard lors de la première édition de cette épreuve espagnole pour assister à la force collective de l'équipe féminine d'Arkéa. Lors du contre-la-montre inaugural de vendredi, les 6 coureuses mettent les pendules à l'heure en domptant le chronomètre 4 secondes devant le Stade Rochelais Charente Maritime et s'emparent de la tenue de leader. Dimanche, lors de l'épreuve Reine, rebelote. Megan Armitage lève les bras au sommet de Piomal devant deux de ses coéquipières : Clara Emond et Maaike Colje. Au classement général, on prend les mêmes et on recommence ! Une belle performance collective qui présage de beaux résultats à venir. Camille Fahy s'impose en solitaire lors des Boucles de Seine-et-Marne Les 114,5 kilomètres de la deuxième édition des Boucles de Seine-et-Marne ont été le théâtre de la première victoire sur route de l'équipe St-Michel-Mavic-Auber 93. Particulièrement en jambe, Camille Fahy s'échappe et remporte, en solitaire, sa première victoire. Une autre pensionnaire de l'équipe francilienne, Sandrine Bideau, s’adjuge la troisième place.  Crédit Photo : Nicolas Vaucouleur

Après 10 podiums en 2022, Kévin Vauquelin confirme les espoirs placés en lui en ce début de saison 2023. Déjà à son avantage lors de l'Etoile de Bessèges, le coureur d'Arkéa-Samsic a marqué les esprits lors de ce triptyque azuréen. On lui prédisait la foudre, il a répondu en patron.  Le Tour des Alpes-Maritimes et du Var accueillait un plateau alléchant avec plusieurs cadors tricolores du peloton : Thibaut Pinot, Romain Bardet, David Gaudu... Cité parmi les outsiders, Kévin Vauquelin n'a finalement pas tremblé lors des deux dernières étapes en finissant 3ème de chacune d'elles. Au jeu des bonifications et pourtant seul représentant de sa formation dans les 50 ultimes kilomètres, Kévin Vauquelin a pris ses responsabilités en attaquant, parfois, en suivant les bonnes roues, souvent. Il a montré une maturité étonnante à tout juste 21 ans. Chapeau gamin ! Crédit photo : © Léa Nespolo

Que de premières !! Les 173,7 kms de la première édition de la Muscat Classic ont été le théâtre de la première victoire professionnelle de la nouvelle recrue belge de l'équipe Arkéa-Samsic, laquelle enregistre à cette occasion son premier succès de la saison. Sur un parcours piégeux comptant pas moins de 6 GPM, une grappe de trente coureurs s'est détachée à l'issue de l'ultime raidard de la journée, une côte d'un kilomètre à 10% de moyenne. Savoureux ! Déjà en forme lors de la Clàssica Comunitat Valenciana 1969, avec une deuxième place (derrière Arnaud De Lie), Jenthe Biermans s'adjuge, tout d'EKOI vêtu, cette course à la veille du départ du Tour d'Oman.

Dernière Marseillaise pour le plus marseillais de cette épreuve« Le Grand Prix de la Marseillaise est une épreuve qui me tient à cœur car elle se court chez moi, d’autant plus que cette année le Tour de la Provence n’aura pas lieu. J’ai terminé une fois deuxième de cette course que je connais par coeur, et l’an passé nous l’avons remportée. Rien que d’évoquer ce souvenir, j’en ai encore des frissons. Yvon Caer m’avait attribué un rôle: capitaine de route, je suis peut-être le coureur qui a disputé le plus cette course. Et si à 40 kilomètres de l’arrivée, Amaury passait la bosse, il devait se mettre dans ma roue jusqu’à la ligne. Il a écouté, fait ce que je lui conseillais, et nous avons super bien joué sur les instants tactiques. Cela reste un grand moment de ma carrière, j’ai tenu mon rôle à la perfection, et j’en tire une certaine fierté au même titre par exemple que si j’avais gagné la course. On voit de plus en plus que les coureurs qui passent bien les bosses et possédant une belle pointe de vitesse jouent la victoire à Marseille, et que de surcroît ce panel s’étoffe saison après saison ».C: ARKEA SAMSIC

Après de longs mois d'attente, c'est ce jeudi 27 octobre sur ASO vient de dévoiler le parcours officiel du tour de France masculin et Féminin. De l'Espagne en passant par le Puy de Dôme, le plus haut volcan d'Auvergne mythique lieu du vélo où Poulidor et Anquetil ont croisé le fer. 5 massifs montagneux seront traversés durant ces 3 semaines.

Nouvelle composition sur Le Tour de France Femmes avec Zwift Arkea Pro Cycling Team dévoile l'équipe qui participera au prochain tour de France Féminin  -Pauline Allin  -Yuliia Biriukova  -Morgane Coston  -Amandine Fouquenet  -Anaïs Morichon  -Greta Richioud C'est la seconde équipe féminine EKOI présente sur cette épreuve

Pour le tour de France 2022, l'équipe ARKEA SAMSIC portera 2 casques EKOI avec un design spécifique, l'HErmine bretonne. Vous souhaitez savoir pourquoi l'Hermine est l'emblème de la Bretagne? En 1202, la duchesse de Bretagne Alix épousa le duc Pierre de Dreux. A l'époque, seul l'ainé des enfants pouvait garder le blason familial, les autres enfants devaient 'briser les armes', c'est à dire ajouter une brisure, un signe distinctif. Pierre de Dreux avait ajouté au blason familial une brisure de moucheture d'hermine. C'est ainsi que l'hermine fit son apparition en Bretagne. L'hermine est au duc de Bretagne ce qu'est le lys au roi de France, deux symboles de pureté.

Voici la sélection de l'Equipe Arkéa Samsic notre première équipe présente sur le tour de France Warren Barguil Maxime BOUET Amaury Capiot Hugo Hofstetter Matîs Louvel Nairo Quintana Łukasz Owsian Connor Swift

Amaury Capiot a remporté la troisième étape des Boucles de la Mayenne au terme d'un sprint massif à Château-Gonthier. Il signe ainsi son 2ème succès cette année et la 11ème victoire de la saison de l'équipe Arkéa-Samsic. « Nous avions une carte devant avec Connor présent dans une échappée à huit. Il s’est glissé dans ce coup afin de se rapprocher au classement général. Le peloton est revenu sur son groupe dans le dernier kilomètre. Je prends la décision de lancer mon sprint de loin, à 250 mètres pour ne pas être bloqué. C'est juste extraordinaire de gagner cette étape ! Jeudi j'avais de bonnes jambes mais je n'ai pas pu pleinement m'exprimer. Aujourd'hui, j'ai fait mon sprint, j'ai pu produire mon effort et cela a suffit pour gagner. » C:ARKEA SAMSIC

Hugo Hofstetter remporte le TRO BRO LEON, le Paris Roubaix Breton Il tourne autour de la victoire depuis le début de saison en enchaînant de nombreux TOP 10 « Je savais que j’en étais capable. Depuis le début de la saison, j’ai toujours travaillé, je ne me suis jamais affolé. Aujourd’hui, on a pris les choses en main. Quand on s’est retrouvés à trois devant dans le final, je savais que la victoire ne pouvait pas nous échapper. Cette course est vraiment importante pour l’équipe et j’ai réussi à me surpasser alors que j’avais des crampes. Hier on a reconnu les secteurs clés, Yvon Caër notre directeur sportif vit à Lannilis et il était encore plus motivé que nous. On a fait une belle course d’équipe mais je ne peux m’empêcher d’être déçu pour Laurent qui a crevé au plus mauvais moment. On a vécu un beau moment tous ensemble, c’est tout ce qui compte. »  . . Frédéric Machabert / Arkéa Samsic

Le Normand de 33 ans a ajouté la dernière course de son territoire qui manquait à son palmarès : Paris-Camembert. Dans un groupe de cinq coureurs, il a surpris tout le monde à un peu plus d’un kilomètre de l’arrivée pour lever les bras en solitaire à Livarot. Anthony Delaplace « J’ai tendance à être trop généreux dans l’effort. Dans les vingt derniers kilomètres, Arnaud Gérard me disait « fais le mariole, n’en fais pas trop ». Pour une fois je l’ai écouté et cette bonne gestion de l’effort c’est ce qui m’a peut-être servi pour gagner aujourd’hui. Quand Valentin Ferron est sorti, il a creusé le trou immédiatement puis on s’est relayé, j’ai géré mon effort. On est revenus sur lui et tout le monde avait envie de souffler. C’est là que j’ai posé la bonne attaque. D’habitude cela ne m’arrive jamais, là, ils se sont regardés derrière.Tout réussit à notre équipe Arkéa Samsic cette année. Mon rôle toute l’année c’est d’être équipier et aujourd’hui j’avais ma chance sur Paris-Camembert. J’avais vraiment à coeur de bien faire sur cette course. C’était ma 13e participation Paris-Camembert. Je n’ai manqué aucune édition depuis que je suis pro. C’est vraiment un bonheur de gagner chez soi. J’avais terminé deuxième en 2016. C’est la course normande qu’il me restait à gagner. Maintenant j’ai un petit problème : j’avais dit un jour sur le ton de la boutade, si je gagne Paris-Camembert, j’arrête ma carrière. Mais franchement je n’ai pas envie de m’arrêter ! (rires) ».

Quelques semaines après sa victoire d’étape à Fermo sur Tirreno-Adriatico, Warren Barguil remporte le Grand Prix Miguel Indurain en Navarre. Le coureur breton a levé les bras lors d’un sprint en petit comité à Estella. « C’était vraiment un sprint serré où j’étais derrière mais j’avais de la vitesse. Comme mon père m’a toujours dit : un sprinteur il en a toujours pour faire le sprint. Je suis un grimpeur-sprinteur on va dire ! (rires)Je suis juste content de cette victoire. Je n’ai pas viré dans la position que je voulais dans la dernière ligne droite mais j’ai réussi à faire mon sprint sur la fin. L’équipe a fait un super boulot. Après l’avant-dernier passage de la montée, ça a attaqué dans le dernier tour. Je suis resté dans le peloton pour m’économiser et mes coéquipiers ont fait un super boulot pour revenir.Ce matin au réveil je pensais qu’on n’allait pas partir car il y avait beaucoup de neige. Avec nos vêtements qu’on a maintenant, on n’a pas eu trop froid, on était bien couverts. Je me suis découvert au dernier moment, à 15 kilomètres de l’arrivée. J’ai retiré ma veste, mes jambières et ça la fait pour la dernière montée.Je ne gagne pas beaucoup et là je gagne déjà deux fois cette année après ma victoire sur Tirreno-Adriatico. Je pense que c’est la spirale positive de l’équipe Arkéa Samsic qui donne aussi cette confiance : je reviens à un bon niveau, je fais les bons choix… C’est la bonne spirale tout simplement ! » C:Luis Gómez / Sprint Cycling Agency

Le coureur de l'équipe ARKEA SAMSIC s'impose pour la première fois de la saison. C'est également la 7e victoire de l'équipe pour 2022. « Je tournais autour de la victoire depuis le début de saison, et je concrétise aujourd’hui en remportant ce premier succès, le 70ème depuis le début de ma carrière depuis mes débuts chez les professionnels. Nous étions en infériorité numérique au départ par rapport aux autres équipes, Cofidis a roulé, puis nous, nous avons mis Kévin Ledanois à rouler au bout de 100 kilomètres. C’était compliqué cette course avec l’enchaînement des bosses dans le final, mais le plus important pour moi, c’était que j’arrive au sprint, même si je n’étais pas emmené. Il fallait cadenasser les parties pavées jusqu’à l’arrivée sur le circuit final. Kévin Vauquelin qui a pris un dernier gros relais pour revenir sur l’échappée, a été très important, tout comme Alan Riou. Laurent Pichon et Kévin Vauquelin ont fait un gros boulot dans le dernier tour, j’adresse un grand merci à toute l’équipe ». C:LNC-BRUNO BADE