LOTTO DSTNY 2024

Trois succès en quatre courses ! Une chose est sûre : Arnaud de Lie is back ! Ce jeudi, il a remporté la 58ème édition du circuit de Wallonie, épreuve de l'UCI Europe Tour et de la coupe de Belgique. (190.8 kms autour de Charleroi) Avec un final en faux-plat pour le moins houleux, le coureur belge a su faire le bon effort au bon moment. Auteur d'un sprint parfait, il coiffe l'excellent Axel Zingle (Cofidis) qui, bon joueur, ne manque pas de le féliciter à l'arrivée. Superbe doublé pour Ekoï avec ces deux pépites du cyclisme ! Déclaration du vainqueur : "Je remercie tous mes équipiers et particulièrement Victor Campenaerts, qui a été impressionnant. C'est fabuleux de gagner ici, en Wallonie." Equipements Ekoï : casque Ekoï Aerodinamica + lunettes perso evo8

Retour gagnant confirmé ! Après sa victoire sur la Famenne Classic Ardenne il y a une semaine, Arnaud de Lie s'adjuge un beau succès sur la 40ème édition du Tro Bro Leon, dixième manche de coupe de France. Une épreuve qui se distingue par ses 29 secteurs non goudronnés, les fameux "ribinou". Animateur de la course, auteur notamment de plusieurs attaques, le jeune sprinteur belge était bien décidé à l'emporter. Malgré deux crevaisons, il est resté "calme" et a su boucler au sprint un groupe de neuf coureurs à sa manière, en costaud ! Clément Venturini (Arkéa-B&B Hôtels), vêtu de son maillot Ekoï noir et blanc édition spéciale vingtième anniversaire de la formation bretonne managée par Emmanuel Hubert et le quarantième anniversaire de l'épreuve, termine deuxième. Comme en 2023, Ekoï signe une nouvelle victoire et un nouveau doublé !    Déclaration du vainqueur : "J'ai eu une première crevaison. J'ai changé de vélo, puis j'ai attaqué une première fois dans le secteur de la Ferme. Nous avons fait une première sélection, mais j'ai encore crevé une fois. Nous avons fait la course derrière à chaque fois, mais nous avons très bien couru en équipe. Et d'ajouter : "Sur ce genre de courses, il est toujours possible de revenir et cela ne sert à rien de s'énerver" Equipements Ekoï : casque AR14 et lunettes perso evo8

Les succès sur des courses World Tour s'enchaînent pour Ekoï. Après Arnaud de Lie (Lotto-Dstny) et Carlos Rodriguez (Ineos Grenadiers) il y a quelques jours, c'est au tour du talentueux et prometteur Maxim Van Gils (24 ans) d'augmenter le compteur de victoires Ekoï ! Auteur d'un excellent début de saison (3ème des Strade Bianche et de la Flèche Wallonne...), le puncheur belge de la formation Lotto-Dstny s'est adjugé au sprint la 61ème édition de l'Eschborn-Francfort, signant au passage la première victoire de sa carrière à cet échelon.  Resté discret tout au long du parcours (203.5 kms), Maxim Van Gils est revenu sur la course en déclarant:  "Mes sensations n'étaient pas super bonnes. Mais mon équipe a fait un fantastique boulot pour durcir la course. Je devais juste survivre à la dernière montée de Mammolshain (20.4 kms à 7.7%). Je suis resté dans les roues pour récupérer et quelques mètres avant l'arrivée j'ai vu le trou, je me suis faufilé et j'ai fini fort."  A noter qu'Ekoï enregistre un joli doublé avec la troisième place de l'Américain Riley Sheehan (Israël Premier Tech). Equipements Ekoï (Maxim) : casque AR14 et lunettes Ottimo blanche

C'est avec le poing rageur que le sprinteur belge savoure sa victoire, la première de la saison ! Et pour cause : contraint à l'arrêt ces derniers mois en raison de la maladie de Lyme, Arnaud de Lie met fin à une période très compliquée de la plus belle des manières, grâce notamment à un excellent travail d'équipe : "On a vraiment fait une belle course. C’est la région d’où je viens donc je connais le parcours quasiment par cœur. On a su jouer avec le parcours. Maxim (Van Gils) était tout le temps avec moi dans les bosses, il a bien joué le jeu d’équipe. L’objectif, c’était de bien nous placer tous les deux et qu’il reste dans ma roue." Au sprint, le "taureau de Lescheret" a débordé Axel Zingle (Cofidis) et remporte pour la seconde année consécutive cette semi-classique wallonne. Ekoï occupe les quatre premières places du classement avec Axel Zingle (Cofidis), 2ème ; Maxim (Van Gils Lott-Dstny), 3ème ; Riley Sheehan (Israël Premier Tech), 4ème.

Disputée dans des conditions météorologiques difficiles, cette 88ème édition de la Flèche Wallonne a été remportée par trois coureurs Ekoï. Le Britannique S.Williams (Israël Premier Tech) s'est montré le plus fort dans la quatrième et dernière ascension du mur d'Huy. A 200 mètres de la ligne, il a attaqué, en costaud. Il devance Kévin Vauquelin de la formation bretonne Arkéa B&B-Hôtels et le Belge Maxime Van Gils (Lotto-Dstny). Ekoï signe son premier triplé de la saison sur une épreuve World Tour et Stephen Williams sa deuxième victoire de l'année après celle décrochée sur le Tour Down Under ! Equipements : casque AR14 Ekoï + textile (S.Williams) - casque Ekoï Aerodinamica, lunettes Ottimo et textile (K.Vauquelin) - casque AR14 + lunettes OTTIMO (M.Van Gils) 

STRADE BIANCHE 15 secteurs de chemins blancs empierrés (71,2 kms), 215 kilomètres, 3674 mètre de dénivelé, un départ et une arrivée à la Piazza del Campo. La 18ème édition des Strade Bianche a tenu toutes ses promesses.  Offensif pendant toute la course, le jeune puncheur belge de 24 ans Maxim Van Gils de la Lotto-Dstny a décroché une belle troisième place sur cette atypique épreuve World Tour.  Déclaration du vainqueur : « J’étais très nerveux au début de la course. Au début, j’ai essayé de suivre Tadej Pogacar, j’aurais pu rester dans sa roue. Mais il y avait d’autres coureurs avant moi et ils n’ont pas eu de réponse à l’attaque. (...) Lorsque j’ai attaqué, j’espérais emmener d’autres coureurs avec moi, mais personne ne m’a suivi. Je savais que cette course me convenait, c’est la confirmation que je peux rivaliser avec les grands coureurs.» GP J-P MONSERE Le lendemain se tenait en Belgique le GP Jean-Pierre Monseré. Une course marquée par des chutes et des abandons en raison du froid de la pluie. Le vainqueur du jour, Jarne Van de Paar de la Lotto-Dstny, n'a pas souffert de ces conditions extrêmes et l'emporte au sprint. Le jeune coureur de 23 ans nous livre une analyse limpide : "La plupart des coureurs ont eu extrêmement froid, mais pour moi, ce n'était pas trop grave (...) C'était corsé, parce que nous avons dû rouler sous la pluie toute la journée." Et au sujet du sprint :"C'était très chaotique (...) il s'agissait d'attendre et ne pas y aller trop vite. Lionel Taminiaux et Joshua Giddings m'ont parfaitement placé." A noter la troisième place de D.Dekker pour Arkéa-B&B Hôtels. GP CRIQUIELIO...

Lennert Van Eetvelt conclut en beauté avec un doublé étape/classement général pour seulement...deux petites secondes.  Marquée par une deuxième partie nerveuse à cause du vent, cette étape s'est jouée dans la dernière difficulté, l'ascension de Jebel Hafeet (10,9kms à 6,7%), théâtre d'un superbe final à suspense. Le maillot rouge de leader du classement général va en effet passer sur les épaules de trois coureurs. Endossé par Jay Vine au départ de l'étape du jour, celui-ci est perdu à 7 kilomètres de l'arrivée au profit de l'Australien Ben'O Connor, à qui semble promis le précieux jersey, d'autant qu'il paraît solide dans la bosse. Mais c'est sans compter sur la détermination du jeune et puissant Lennert, qui décide de passer à l'attaque à 1,8 kilomètre de la ligne. Il s'envole alors vers la victoire d'étape en donnant tout ce qu'il a sous les pédales, poussé par son équipe qui sent qu'un coup est à jouer. Cet ultime effort est récompensé puisqu'il rafle la mise étape/classement général de ce sixième Tour UAE pour deux secondes. Rétrospectivement, l'équipe et le coureur peuvent se féliciter d'avoir engrangé trois secondes de bonifications lors du sprint intermédiaire.   Après sa victoire sur le Trofeo Serra de Tramuntana fin janvier à Majorque, le nouveau prodige belge de la Lotto-Dstny offre à son équipe et à Ekoï un superbe doublé sur une épreuve World Tour. Déclaration du vainqueur : "Avant la montée (...) je me suis retrouvé coincé. J'avais le sentiment d'avoir perdu la course, mais heureusement nous sommes revenus dans le premier groupe juste avant le Jebel Hafeet (...) Je m’attendais à ce que l...

Tout juste sortis des stages d’hiver, nombreux étaient les coureurs impatients de donner le ton. C’est donc sans surprise que plusieurs échappées ont été tentées. Et ce, dès les premiers kilomètres. A ce petit jeu, Jesus Herrada de la Cofidis a tenté sa chance. C’est finalement à trente kilomètres de l’arrivée que s’est formée la bonne avec dix coureurs. Parmi eux, le Belge Lennert Van Eetvelt (Lotto-Dstny), bien déterminé à ne pas se contenter d’une seconde place (2023). Dans la dernière bosse du jour (le Coll Puig Major - 14.2kms à 6% de moyenne), il prend le large avec deux coureurs dont il va disposer au sprint dans un final de grimpeurs en faux-plat ! Equipements EKOÏ : casque Ekoï AR14 et lunettes Premium90 Déclaration du vainqueur : « La différence avec l’année dernière, où j’étais deuxième, c’était la chance et de bonnes jambes…” Résultats notables du coureur : Alpes Isère Tour 2023 (Classement général + étapes 4 et 5) - Trofeo Serra de Tramuntana 2023 (2ème) - Sibiu Cycling Tour 2023 (étape 2) Crédit PhotoNews

Certaines courses restent dans les annales pour une image marquante... nul doute que la 5ème édition de la Lotto Famenne Ardenne Classic fera date, en raison des 50 derniers mètres d'anthologie. Malgré plusieurs attaques tout au long des 188 kilomètres du parcours, c'est finalement au sprint que va se jouer la gagne. A 200 mètres, pourtant mal placé à l'entame de l'emballage final et ne profitant pas du train de sa formation, Arnaud de Lie décide de déboiter du côté gauche de la chaussée, totalement dans le vent. On s'achemine vers une démonstration de force tant le jeune belge prend rapidement 2 puis 3 vélos d'avance, lorsque tout à coup, il déchausse... En réalité, il casse sa calle et termine sur une jambe. A seulement quelques centimètres de la ligne, il lance son vélo pour s'imposer. Il manque par la même occasion de chuter lourdement contre les balustrades. Quelle image surréaliste ! Arnaud de Lie enregistre sa 10ème victoire de la saison, série en cours ! Crédit Photos : PhotoNews

Les hommes en forme de la fin de saison étaient au rendez-vous de la 82ème édition du Circuit Franco-Berge et ils ont tenu leur rang... Prenez une course usante de 190 kilomètres comportant pas moins de 14 ascensions et rajoutez-y une arrivée en bosse... secouez le peloton et vous applaudissez sur la ligne le boss sur ce type de parcours : Arnaud de Lie ! A un tour de l'arrivée, le jeune belge de 21 ans parvient à suivre le rythme infernal imposé par ses adversaires. Finalement, une quinzaine d'hommes se présentent au pied du Mont-de-L'Enclus, juge de paix du jour. A 150 mètres de la ligne, dans les ultimes mètres comprenant des pourcentages, il produit son effort et fait parler sa puissance. Facile, il s'impose avec deux vélos d'avance en se permettant le luxe de se relever complètement dans les 25 derniers mètres. Corbin Strong (Israël-Premier Tech) termine 3ème. Grâce à cette victoire, le "Taureau de Lescheret" égale son nombre de succès de la saison précédente (9) et offre un 20ème triomphe à sa formation Lotto-Dstny cette année. Crédit Photo : Photonews

Le rouleur belge est une véritable machine dès qu'il s'agit de faire parler sa puissance. Victor réalise une saison remarquable depuis le Critérium du Dauphiné. Déjà auteur d'une victoire sur le dernier Druivenkoers - Overijse, il renoue également avec le succès sur l'exercice solitaire. Le bolide de la Lotto-Dstny a une fois encore mis en route ses pistons surpuissants pour se battre contre le temps. Les 23,9 kilomètres du contre-la-montre ont été avalés à vitesse hypersonique et au bout de l'effort seulement une seconde sépare Victor de son dauphin du jour. A l'arrivée, très ému, le double champion d'Europe de l'épreuve (2017 et 2018) dédie cette victoire à un membre de sa famille disparu quelques jours auparavant. La force mentale et la force physique... Crédit photos : Skoda Tour du Luxembourg

C'est tout en (sur)puissance que la pépite belge de la formation Lotto-Dstny s'est imposée au sprint dans les rues de Québec. Bien que mal placé à quelques hectomètres de la ligne, celui que l'on surnomme le Taureau de Lescheret est parvenu à remonter un à un ses adversaires. Plus qu'une performance, une véritable démonstration de force ! Il devance le solide Corbin Strong (Israël Premier Tech) et l'un des grands favoris, Michael Matthews, double vainqueur de l'épreuve (2018,2019) !  A 22 ans, Arnaud décroche sa première victoire World Tour. A l'arrivée, il a déclaré :  "Il me manquait une grande victoire. Le GP de Québec, je le regarde depuis que je suis tout petit. Pouvoir inscrire cette victoire à mon palmarès, c’est juste énorme." 7ème succès de l'année pour ADL et premier trophée canadien pour Ekoï, qui fait une entrée en fanfare en tant que partenaire casques et lunettes des GPCQM.

Après un contre-la-montre inaugural très contesté en raison du manque de luminosité, les conditions météo et le parcours final du jour ont poussé les coureurs et les organisateurs à ne pas prendre les temps à l'arrivée mais à 9km de la ligne, avant la montée et surtout la descente de Montjuïc.  Le début de la course a été marqué par une échappée de 5 hommes dans laquelle figurait Bol, coureur de la Burgos BH. À l'approche du final, les chutes se succèdent et les grands leaders du classement général se relèvent après le fameux passage aux 9 kilomètres.Seul une vingtaine de kamikazes se jouent donc une victoire de prestige dans la capitale de la Catalogne. Dans les pentes les plus raides de la difficulté du jour, véritable juge de paix, on assiste d'abord à une attaque de Remy Rochas (Cofidis) qui avorte d'une souris mais permet à Andreas Kron de contrer et de s'isoler juste avant la bascule. Malgré un revêtement détrempé et l'accumulation de feuilles mortes tombées en raison de la pluie battante, il parvient à garder une avance précieuse et à s'octroyer une victoire mémorable à deux pas du Stade Olympique de 1992. Une victoire en forme d'hommage après le décès à l'entraînement de son jeune équipier Tijl De Becker : "Celle-ci est pour toi, Tijl !" Crédit photos : Photo News / Getty Images

Même si elles ne font pas partie des classiques ou des monuments, certaines courses ont une saveur particulière pour les coureurs. Tel est le cas de l'Egmont Cycling Race pour Jasper de Buyst... Le tracé de 193,5 kilomètres s'achevant à Zottegem emprunte largement ses routes d'entraînement. Le sprinteur belge connaît ainsi chaque recoin du parcours mais également les pièges à éviter lors des différentes côtes et secteurs pavés. La course nerveuse s'est finalement jouée dans un sprint en comité restreint. A quelques kilomètres de l'arrivée, Arjen Livyns fournit un gros travail en tête de peloton pour revenir sur un coureur échappé et permettre à son coéquipier de disputer ses chances. A 300 mètres, Jasper déclenche déja son sprint... Il parvient à garder une avance substantielle sur la ligne malgré l'acide lactique tétanisant ses jambes. Les commissaires feront toutefois appel à la photo finish pour départager les deux coureurs et le désigneront comme vainqueur. Un deuxième succès pour le coureur Lotto-Dstny sur cette épreuve après 2017.

La 63ème édition de "la course aux raisins" a récompensé l'un des coureurs les plus offensifs de l'été. Dans une course d'équipe, les coureurs de la formation belge Lotto-Dstny ont parfaitement manoeuvré sur les 185 kilomètres du parcours. Victor Campenaerts et Jasper de Buyst parviennent à prendre place, en tête de course pour l'un et dans le groupe des poursuivants pour l'autre. Cette configuration permet au malicieux Victor de sauter des relais prétextant que son équipier est en chasse derrière lui. Pari gagnant puisqu'il parvient à régler au sprint son compagnon de fugue ! La stratégie mise en place permet à la Lotto-Dstny de placer deux coureurs sur le podium à la première et troisième place. Champagne ! Crédit Photo : Photo News

Deux jours après sa victoire sur la manche de la Coupe de France, Arnaud De Lie refait parler la poudre, cette fois-ci à domicile, sur la 9ème manche de la Coupe de Belgique. Le Tour of Leuven réussit plutôt bien aux coureurs de la Lotto-Dstny, puisque le précédent vainqueur n'était autre que Victor Campenaerts... Les 193 kilomètres de cette 57ème édition ont été courus à une vitesse très élevée (plus de 43km/heure). En début de course, une échappée prend ses distances mais les coéquipiers du sprinter belge veillent au grain. A 40 kilomètres de l'arrivée, elle est finalement reprise avant qu'un groupe de 10 hommes forts se détache dans les différents "tapes-cul " du parcours. Bien emmené par un "Campi" de gala, Arnaud De Lie règle au sprint ses adversaires dans les 20 derniers mètres et s'offre un 7ème bouquet cette saison. La Lotto Dsnty réalise un joli tir groupé avec 4 coureurs dans le TOP 10 : (De Lie, Campenaerts, Peyskens et Livyns). Axel Zingle (Cofidis) termine 4ème, Giacomo Nizzolo 10ème. Crédits Photos : Photonews et Maxime Van der Wielen

A quelques encablures du mythique Mont-St-Michel, 112 coureurs s'alignent sur la 43ème édition de La Polynormande, épreuve fondée par l'ancien speaker du Tour de France Daniel Mangeas. Sur un parcours de 168,9 kilomètres comprenant 10 tours de circuit, Arnaud de Lie fait figure d'homme à battre : une belle bataille s'annonçant à la David contre Goliath. Après plusieurs escarmouches dont une échappée ayant pris du champ, Guillaume Martin (Cofidis) ne roucoule pas dans la Côte de la Pigeonnière et place une attaque permettant à deux coureurs de prendre quelques hectomètres d'avance sur le peloton. Bien emmené par sa formation belge, Arnaud De Lie déboule avec une vitesse impressionnante décrochant de sa roue tous ses adversaires et dépose les deux fuyards à 50 mètres de la ligne. Pour la deuxième fois de la saison, "le Taureau de Lescheret" s'impose sur une manche de la Coupe de France, après son succès sur le Grand Prix du Morbihan. Ce bon résultat lui octroie la tête du classement général du circuit. A noter le bon tir groupé des coureurs arborant des produits Ekoï avec la 7ème place d'Hofstetter (Arkéa-Samsic), la 8ème place de Delettre (Cofidis) et la 10ème place de Nizzolo (Israël-Premier Tech). Crédit photos : Cassandra Donne

Le Tour de Castille-et-Léon est une course espagnole comprenant seulement deux étapes. Le profil accidenté de la deuxième journée se prête aux manœuvres d'envergure grâce aux deux ascensions de première catégorie. Une échappée se forme dans laquelle se glisse Eduardo Sepulveda. Le grimpeur argentin parvient à fausser compagnie à ses compagnons de fugue à l'exception de Pablo Castrillo (Kern Pharma), qu'il règlera lors d'un sprint à deux. Ce succès permet au coureur de la Lotto-Dstny de remporter le classement général dans lequel on peut noter la 4ème place de son équipier Harry Sweeny et la 8ème de Jakob Fuglsang (Israël-Premier Tech). Crédit Photo : Tour de Castille-et-Léon

Pour cette 110ème édition du Tour de France, quatre équipes Ekoï étaient sur la ligne de départ : Israël Premier-Tech, Arkéa-Samsic, Cofidis et Lotto-Dstny. Il n’a pas fallu attendre très longtemps pour voir briller l’une d’entre elles. Deuxième étape et la première victoire obtenue grâce à un magistral coup d'œil de Victor Lafay (Cofidis), lequel surprend les plus costauds en partant au kilomètre pour franchir seul la ligne. Jouissif ! Une semaine plus tard, c’est l’expérimenté Michael Woods (Israël Premier-Tech) qui effectue une fantastique montée du très difficile Puy de Dôme. Revenant un à un sur ses adversaires, il les terrasse dans les pourcentages les plus sévères. Mythique !  Lors de la 12ème étape, Cofidis s’illustre à nouveau avec le coureur espagnol Ion Izaguirre, auteur d’une irrésistible chevauchée de 30 kilomètres récompensée par une superbe et incontestable victoire. Solide ! De nombreux coureurs se sont également illustrés. Parmi eux, impossible de ne pas citer le belge Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) auteur de très nombreuses tentatives d’échappées, souvent au kilomètre 0. A Paris, ce n’est pas par hasard s’il remporte le trophée du super combatif. Krists Neilands (Israël Premier-Tech) s’est à plusieurs fois retrouvé dans le “bon coup” et a fait preuve d’une remarquable combativité. Guillaume Martin (Cofidis) s’est montré sacrément pugnace en s’accrochant tout au long des étapes de montagne. Sa 10ème place au classement général est amplement méritée.  Côté sprints, on notera les deuxième et troisième places de Caleb Ewan (Lotto-Dstny) et la troisième place ...

Après sa grave blessure intervenue en mai dernier lors des 4 jours de Dunkerque, Arnaud De Lie est avant tout en recherche de confiance, d'autant que sa course de rentrée lors des Championnats de Belgique sur route n'a guère donné motif de satisfaction. Après une 57ème place anecdotique, le jeune belge de 21 ans cherche à retrouver sa forme de début de saison. Avec ses 5 étapes, dont plusieurs promises aux sprinteurs puncheurs, le Tour de Wallonie est idéal pour regoûter au plaisir de la victoire. Entre St-Ghislain et Walcourt (étape 2) sur un profil accidenté, Axel, le frère d'Arnaud contrôle l'écart qui sépare le peloton et la tête de course. Comme attendu, tout va jouer au sprint. Bien amené par son poisson pilote jusqu'aux 250 mètres, Arnaud déborde ses adversaires et s'impose avec une étonnan te facilité, stoppant son effort en amont de la ligne. Grâce au jeu des bonifications, il s'empare également du maillot rouge de leader. Avec une telle couleur, le "Taureau de Lescheret" n'a pas fini de donner des coups de cornes... Crédit photo : Photo News

Comme à l'accoutumée, la première partie de l'étape ressemble davantage à un défilé où les coureurs savourent petits fours et cham...pagne, qu'à une course cycliste. Cependant, à l'approche de la plus belle avenue du monde, plus le temps de se cham..brer. L'entrée sur les Champs..Elysées marque le début réel de la bataille. Après seulement quelques tours de circuit, Clarke (Israël-Premier Tech) et Frison (Lotto-Dstny) sortent du paquet et réalisent la dernière échappée de ce Tour de France. Campenaets (Lotto-Dstny) tout fraîchement élu "coureur le plus combatif de cette 110ème édition" tente également sa chan...ce mais le rythme imposé par les équipes de sprinteurs ne permet aucune échappatoire. Mais quel cham...pion malgré tout. Pour l'ultime sprint, graal de tous les coureurs au jarret bien développé, à noter 3 coureurs Ekoï dans le TOP 10 : Coquard (Cofidis) 7ème, Strong (Israël-Premier Tech) 9ème, Mozzato (Arkéa-Samsic) 10ème. Au général, Guillaume Martin décroche une belle 10ème place. Crédit Photos : Sprint Cycling et Sirotti

Les 133,5 kilomètres de cette avant-dernière étape du Tour s'annoncent nerveux, d'autant que le profil proposé aux 151 coureurs rescapés ne compte pas un seul mètre de plat. La partie peut commencer : faites "vosges", rien ne va plus ! A ce petit jeu, les premiers à dévoiler leur main sont les deux coureurs de la  Lotto-Dstny Campenaerts et De Buyst. Dès l'ouverture du rideau orchestrée par le maître de cérémonie Christian Prudhomme (directeur du Tour de France) les deux compères tentent un tour... de passe passe en se faisant la malle seuls, dans le Ballon...d'Alsace. Peine perdue... Dans la descente, ils réapparaissent aux yeux de leurs adversaires et sont immédiatement distancés. Merci messieurs pour ce numéro ! Quelques hectomètres plus tard, un groupe d'une vingtaine d'unités se forme à l'avant. On y retrouve notamment Izagirre et Zingle (Cofidis), l'autre grand attaquant de ce Tour Neilands (Israël-Premier Tech), Van Gils (Lotto-Dstny) et Barguil (Arkéa-Samsic). Le rythme est soutenu à l'avant comme en tête du peloton, personne n'est là pour enfiler des perles ! Le Col de la Croix des Moinats permet de faire une nouvelle sélection à l'avant, où seuls 6 coureurs jouent les premiers rôles : Barguil, Neilands, Van Gils sont à la fête ! Dans cette étape, un autre coureur est en mission. Pinot (Groupama-FDJ) participe à son dernier Tour de France et le Franc-comtois roule aujourd'hui à domicile. Il connaît par cœur ces routes. Dans les pourcentages les plus exigeants de cette difficulté, révolté, surmotivé, transcendé, il sort du peloton et revient seul sur l'échappée. Un tigre prêt à rugir ! Pas de temps ...

Ce Tour de France réserve décidément bien des surprises... Bien que les coureurs soient fatigués après 18 étapes très exigeantes, ils continuent d'offrir un spectacle d'une rare intensité. Plusieurs d'entre eux sont bien décidés à mener un baroud d'honneur et tentent de s'isoler. Parmi eux, on retrouve évidemment Campenaerts (Lotto-Dstny), Zingle et Coquard (Cofidis), Neilands (Israël-Premier Tech). Le bon coup ne semble pourtant pas formé, trop d'équipes souhaitant s'imposer dans cette étape 100% jurassienne. Finalement, après plus de 60 kilomètres de lutte, la course se décante à la suite du sprint intermédiaire et voit un groupe de quelques 36 coureurs s'extraire du peloton : Barguil (Arkéa-Samsic), Houle, Neilands, Strong et Clarke (Israël-Premier Tech), Campenaerts (Lotto-Dstny), Izagirre (Cofidis) notamment. Jusqu'ici particulièrement discret, l'australien Simon Clarke a des fourmis dans les jambes et lance une offensive à 60 kilomètres de l'arrivée, accompagné de l'inévitable "Campi". "Aerodinamiqu..a" et bien posés sur leurs machines, les deux baroudeurs livrent une chorégraphie efficace mais les crampes arrêtent Clarke 28 kilomètres plus loin. Quelques hectomètres plus tard, dans le dernier "repecho" de la journée, Campenaerts est repris par un trio de fuyards qui se "j...o...ura" la victoire à Poligny. Derrière, bien qu'à leur avantage Strong et Barguil ne pourront pas défendre leur chance victimes d'une chute pour l'un et d'un ennui mécanique pour l'autre. Distinction rarement décernée deux jours d'affilée au même coureur, le prix de la combativité est encore attribué à Campenaerts pour l'ensemble de so...

C'est devenu une tradition, un rendez-vous incon...tour...nable de cette 110ème édition de la Grande Boucle : l'attaque de "Campi", dès le kilomètre 0. Pour l'antépénultième fois depuis le départ du Tour, Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) décide de passer la journée à l'avant de la course, accompagné de deux autres courageux.  Après la terrible journée alpestre de la veille et ses 5100 mètres de dénivelé positif, cette étape de transition semble promise aux sprinteurs. Jasper Philipsen fait figure de grandissime favori. Le peloton ne laisse aucune marge de manœuvre aux fuyards puisque l'échappée ne prendra jamais plus de 1min30 d'avance. Déjà en difficulté prématurément hier dans les premières pentes du Col des Saisies, Simon Geschke est encore lâché à 124 km de l'arrivée.  Malade, le porteur du maillot à pois pendant plus de 10 jours en 2022  jette l'éponge 60 km plus tard. En 48 heures, c'est le troisième coureur de la formation Cofidis à quitter la route du Tour : après Alexis Renard victime d'un trait de fracture au coude lors du contre-la-montre et Anthony Perez non partant le matin même. De son côté, l'équipe de la Lotto-Dstny est intenable. Bien décidé à mener la vie dure aux "grosses cuisses" du peloton, Pascal EenKhoorn place plusieurs attaques en tête du peloton. Mission doublement réussie ! Il pousse le maillot vert à bout puisque ce dernier tente de l'intimider en le serrant contre le bord de la chaussée, puis parvient dans un second temps à rejoindre le trio de fuyards, retrouvant ainsi Victor, son coéquipier. Au sprint intermédiaire, les Lotto-Dstny se classent 2ème et 3ème, Bryan...

Au programme du jour : un profil plat dans le magnifique département de l'Ain avec une montée sèche pour finir. Et par n'importe laquelle ! Les premiers kilomètres sont le théâtre de plusieurs tentatives d'échappée. Coutumier du fait, Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) sort au km 0, sans réel succès. On aperçoit un bref instant Bryan Coquard (Cofidis) qui ne manque pas de se faire remarquer avec la très réussie livrée "bleu blanc rouge" de son casque AR14.  19 coureurs parviennent à former un groupe. Il reste alors 110 kilomètres. Parmi eux, trois coureurs Ekoï : Maxim Van Gils (Lotto-Dstny), Hugo Houle (Israël Premier-Tech) et Luca Mozzato (Arkéa-Samsic).  Au pied du "Géant du Bugey", les fuyards ont un peu moins de 4 minutes d'avance...L'entame de l'ascension fait mal. Le jeune Van Gils est encore dans le coup dans le quatuor des rescapés. S'il laisse passer le vainqueur du jour à 10 kms du sommet, il résistera tout de même jusqu'au bout au retour du peloton maillot jaune pour décrocher une belle deuxième place ! Une petite satisfaction pour la formation belge qui perd son sprinteur avec l'abandon de Caleb Ewan. Guillaume Martin est 15ème du classement général.

Bryan Coquard (COFIDIS) s’est glissé dans la première échappée du jour avec un objectif en tête : remporter le sprint intermédiaire. Mission accomplie au kilomètre 48  il est le plus rapide et engrange 20 points. Avec 84 points, il se place en solide dauphin de Philipsen.  Le belge Victor Campenaerts (Lotto-Dstny) est parti en échappée en compagnie de Van Aert et Mads Pedersen. Les fuyards seront repris à moins de 3 kilomètres du sommet du Col de Soudet.  A noter le bref cavalier seul du coureur de l’équipe Israël Premier-Tech, Krists Neilands qui passe seul en tête le col d’Ichère.

Belle journée pour les coureurs Ekoï hier marquée par une nouvelle échappée et un sprint âprement disputé. À 85 kms de l'arrivée, Anthony Delaplace (Arkéa-Samsic) prend les devants en compagnie de B.Cosnefroy. Repris à 25 kms de la ligne, le duo réintègre un peloton en ordre de marche pour disputer le sprint massif sur le circuit de Nogaro. Sprint que l'explosif Caleb Ewan (Lotto-Dstny) manque de peu, battu seulement d'une demi roue par Philipsen. A noter une prometteuse quatrième place de Bryan Coquard. Le sprinteur Cofidis monte en puissance ! A suivre...

On avait quitté "Rocket Pocket" sur plusieurs deuxième places particulièrement frustrantes lors de l'UAE Tour ou du GP Monseré. Les casques bleus de la Lotto Dstny se devaient donc de réussir l'opération "victoire" sur la Van Merksteijn Classic, anciennement GP Marcel Kint. Le sprinteur australien et ses coéquipiers ont parfaitement manœuvré lors des 4 tours de circuit pour repérer le final. A l'approche de la flamme rouge, Caleb Ewan choisit la roue de Tim Merlier, très en forme depuis le début de la saison, le déborde à moins de 100 mètres de la ligne avec son casque camouflage et se rassure à quelques semaines de son grand objectif de l'année : le Tour de France. C: Caleb Ewan

La Lotto Dstny a été particulièrement en vue lors de la 55ème édition de la classique belge. A 35 kilomètres de la ligne d'arrivée, une vingtaine de coureurs prend la poudre d'escampette et entame les ultimes secteurs pavés avec une poignée de secondes d'avance. A 5 kilomètres, ils ne sont plus que 5 en tête. Parmi eux, on retrouve le solide rouleur Victor Campenaerts, mais les fuyards sont repris à l'approche d'un sprint houleux marqué par la chute d'Asgreen et De Bondt. Finalement, Milan Menten tire les pavés du feu devant le puissant Hugo Hofstetter d'Arkéa-Samsic. Joli doublé pour EKOÏ !

Avec plus de 3000m de dénivelé pour 169,7 kilomètres autour de Bessèges, la troisième étape n’était pas forcément favorable aux sprinteurs. Au programme, le col des Brousses, côte de première catégorie, à gravir trois fois, dont la dernière fois à une dizaine de kilomètres de la ligne.   Distancé dans les bosses, Arnaud de Lie est parvenu à revenir sur le groupe de tête à 4 kilomètres de l'arrivée. Impatient, il a alors sonné la charge à deux kilomètres de l’arrivée, en vain. Déterminé, le sprinteur belge a surpris ses adversaires et les commentateurs en jaillissant au meilleur des moments pour l’emporter “facilement”. Il finit 7ème de cette 53ème édition. Distancé dans les bosses, Arnaud de Lie est parvenu à revenir sur le groupe de tête à 4 kilomètres de l'arrivée. Impatient, il a alors sonné la charge à deux kilomètres de la ligne, en vain. Déterminé, le sprinteur belge a surpris ses adversaires et les commentateurs en jaillissant au meilleur des moments pour l’emporter “facilement”. Il finit 7ème de cette 53ème édition.